Quand j'écrivais des chansons d'amour platoniques et naïves :
Du plus beau des sourires
Quand par chance tu es en ma présence
A l'avance tu me manques déjà
Et quand trop tôt je subis ton absence
Il ne me reste que le son de ta voix
Alors impatient j'attends ton retour
Chaque jour un peu plus je te désire
Je t'écris cette chanson plutôt qu'un discours
Dans l'attente du plus beau des sourires
Source intarissable de mon inspiration
Ton image est imprimée dans ma tête
Créant en moi de nouvelles sensations
Tu es si formidable et si parfaite
Tes yeux au bleu profond au rêve m'invitent
Active tonique talentueuse je t'admire
tu enchantes mon univers si vite
Que lorsque tu me quittes je ne peux que souffrir
Je n'ai qu'un regret et il est de taille
Celui de ne pas t'avoir connu plus tôt
Je n'ai qu'une crainte celle que tu t'en ailles
Blessant ainsi mon p'tit cœur pas costaud
François Ville
http://youtu.be/pRc-qfLLVVc
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